Tout d’abord construit sous la forme d’un « logis », lors de la débâcle prussienne du 18ème siècle, leurs troupes mirent le feu au Château en repartant de France, provoquant en grande partie sa destruction et n’y laissant que quelques ruines fumantes.
Plus tard en 1780, c’est Auguste Bucquet, en sa qualité de peintre et d’architecte, qui le construisit de nouveau sur les ruines de l’ancien logis. Désirant sûrement laisser sa trace dans l’histoire, il fit d’ailleurs graver son nom sur la façade même du Château.
Entre temps, le Château s’enorgueillit de tours supplémentaires, et devient le théâtre de destinées entrecroisées.
Meunier, Boulanger, Passeur de bacs sur le Cher, Vigneron, sont autant de vies abritées au sein du domaine, qui porte encore aujourd’hui les traces matérielles ou écrites de cette histoire.
La mémoire locale continue encore aujourd’hui de nous en apprendre régulièrement sur notre passé…